Les laboratoires du Département de techniques de diététique (TD) et gestion d’un établissement de restauration (GER) ont obtenu l’accréditation niveau OR du programme MON ÉCOLABO! Le 24 mai dernier, c’est avec fierté que les membres du département TD-GER se sont vu remettre les autocollants MON ÉCOLABO par M. Stéphane Béranger, coordonnateur au développement durable à l’Université de Montréal.  

Par cette démarche, le département souhaite mettre en adéquation les pratiques de gestion de ses laboratoires et le volet transversal du développement durable (DD), intégré dans les cours de la formation spécifique des programmes de Techniques de diététique et de Gestion d’un établissement de restauration. Elle permet également d’accroître les situations d’apprentissage et d’évaluation pratiques en lien avec ce même volet transversal. 

MON ÉCOLABO étant un programme d’amélioration continue, le département TD-GER poursuivra sa démarche en bonifiant ses pratiques de diffusion, d’éducation et d’innovation ainsi que sa participation à une communauté de partage au sein du Collège. Le but ultime est d’atteindre l’accréditation niveau Platine. 

Cette réalisation répond également à une des actions du Plan d’action de développement durable 2021-2026 du Collège, soit l’implantation de l’attestation ÉCOLABO dans les laboratoires pour améliorer la gestion des achats et des matières résiduelles.  Le département de TD-GER se dit prêt à partager sa démarche auprès des autres départements qui souhaiteraient emboîter le pas. 

Qu’est-ce que l’accréditation MON ÉCOLABO 

Ce programme d’accréditation volontaire de l’Université de Montréal est décrit par celle-ci comme un « modèle d’amélioration continue de la durabilité et de l’écoresponsabilité des pratiques en laboratoires et au bureau qui s’articule autour de quatre objectifs : 

  • Sensibiliser et présenter les bénéfices tant environnementaux qu’économiques des pratiques écoresponsables en laboratoire; 
  • Améliorer la gestion des laboratoires et des bureaux connexes en la rendant plus durable; 
  • Renforcer les capacités et l’implication de la communauté scientifique dans la gestion de projets écoresponsables; 
  • Créer une communauté de pratique entre les institutions d’enseignement au Québec. » (Source : Université de Montréal)