C’est le 15 et le 16 février dernier qu’avait lieu au Collège Montmorency, pour la huitième année consécutive, un marathon de visionnement de films québécois dans le cadre des activités locales du Prix collégial du cinéma québécois.

Les étudiants participants devaient visionner les cinq films en lice et tenir une discussion sur chacun d’eux, avant de déterminer leur « coup de cœur ». Contre toute attente, c’est le film Happy Face  d’Alexandre Franchi qui a le plus touché le public montmorencien. Ce film met en scène un jeune homme de 19 ans qui pousse des patients défigurés à se révolter contre le conformisme de la société.

D’ailleurs, une projection spéciale de ce film gagnant du PCCQ-Montmorency 2019 aura lieu à la salle Claude Legault le 14 mars prochain, dès 18 h 30. L’activité, organisée conjointement avec Québec-Cinéma dans le cadre de la tournée du PCCQ, sera gratuite et ouverte à tous.

Les autres films en lice cette année, sont, dans l’ordre de préférence des participants de Montmorency : « Chien de garde » de Sophie Dupuis, «Manic » de Kalina Bertin, « Les faux tatouages » de Pascal Plante et « Claire l’hiver » de Sophie Bédard-Marcotte.

Ce weekend de cinéma québécois était organisé et animé par Richard Turmel, avec l’aide de Brigitte Breault et Pierre Mondor, tous professeurs en cinéma et communication. L’activité a été rendue possible grâce au concours de la Direction des études ainsi qu’à la précieuse collaboration de la Fondation du Collège Montmorency.

Au terme de l’activité, c’est Pascal Lefebvre qui fut élu par ses pairs pour représenter Montmorency lors de la grande délibération nationale (aussi animée par Richard Turmel de Montmorency) qui aura lieu à Montréal le 29 mars prochain. Pascal aura à défendre le choix montmorencien auprès de délégués provenant des 53 cégeps participants. Le grand lauréat du Prix collégial du cinéma québécois de 2019 sera officiellement révélé à la presse le samedi 30 mars, lors d’un café cinéma animé par Mme Micheline Lanctôt, qui est marraine de l’événement depuis le début.

C’est donc une histoire à suivre!

 

Une bourse d’études de 100$, offerte par la Fondation a d’ailleurs été octroyée, par tirage au sort parmi les participants à Naïla Rabel, étudiante en cinéma.

 

(Photos: Pierre Mondor)