Danse - 506.A0

Née au Colombie-Britannique, Zoey Gauld vit et travaille à Tiohtià:ke / Mooniyang / Montréal depuis ses études en danse à L’EDCM.  Zoey co-crée Mystic-Informatic avec Audrée Juteau, Catherine Lavoie-Marcus, Ellen Furey et Marilyne St-Sauveur, qui sera présentée en première au festival OFFTA à Montréal en 2022. L’œuvre a remporté le prix Mois Multi lors de la première, et depuis ce temps a été présentée à Québec, en Gaspésie, à Ville-Marie, à Rouyn-Noranda, à Mont-Tremblant, à New York et en extrait à Edinbourg. Zoey poursuit un prochain projet Mystic-Métallic avec ses collaboratrices avec une première prévue en mai 2025 à Montréal.Depuis plus de quinze ans, Zoey danse avec des artistes et compagnies tels que : Sasha Kleinplatz, Andrew Tay/François Lalumière/ Katrzyna Szugajew, Créations Estelle Clareton, Marie Béland/maribé sors de ce corps, Deborah Dunn/Trial and Eros, Jacques Poulin-Denis/Grand Poney et Pigeons International.

Zoey détient une maîtrise en danse de L’UQÀM où elle a étudié l’improvisation et l’identité de l’interprète dans la performance en « livestream ».

Elle est la première artiste invitée en résidence virtuelle sur la plateforme LINTERFACE menée par LORGANISME. Sa résidence termine avec la production de l’œuvre post dance on Internet / send dance in post (2021).

Avec Emmanuelle Bourassa Beaudoin et Jonathan Inksetter, elle co-produit le Projet pédagogique avec Angélique Willkie (2023). Zoey suit Angélique au festival Impulstanz à Vienne en 2019 en 2022 en tant qu’assistante à l’enseignante maître. Depuis janvier 2023 Zoey enseigne la danse au Collège Montmorency.

Chantal Lamirande œuvre dans le milieu professionnel de la danse au Québec depuis plus de 25 ans. En tant que chorégraphe et interprète, elle s’est produite sur diverses scènes au Québec et à Montréal. Son intérêt pour l’interdisciplinarité nourrit son parcours depuis ses débuts, créant des œuvres en étroite collaboration avec des artistes provenant de diverses disciplines artistiques : éclairagistes, créateurs d’images, musiciens. Elle détient un baccalauréat en enseignement de la danse et une maîtrise en danse (volet création/interprétation) de l’Université du Québec à Montréal. Présentement, elle suit des cours dans le cadre du Diplôme d’études supérieures spécialisées en éducation somatique, DESS. Elle entame sa carrière de professeure au collégial au Département de danse du CEGEP de Drummondville puis la poursuit au Collège Montmorency.

Crédit photo Jean-Sébastien Francoeur

Après ses études en danse au Collège Montmorency, Sophie a poursuivi sa formation à l’Université du Québec à Montréal où elle a complété deux baccalauréats en danse : un en enseignement et un en interprétation. À la fin de ses études, elle a reçu la bourse d’excellence William Douglas de la fondation UQAM.
En tant qu’interprète, Sophie a toujours été stimulée par les différents processus de création proposés par les chorégraphes avec qui elle collabore. Durant sa carrière, elle a dansé entre autres pour Gaétan Gingras, Roger Sinha, Lynda Gaudreau, Mariko Tanabe, Deborah Dunn et Estelle Clareton. Elle a interprété leurs œuvres en tournée à travers le Canada, aux États-Unis, au Brésil, ainsi que dans plusieurs pays d’Europe.
Parallèlement à son travail d’interprète, Sophie a œuvré en tant que répétitrice chez Sinha danse, la Compagnie de Brune, Trial and Eros et Héloise Rémy. Ses qualités de répétitrice lui ont été très utiles lorsqu’elle s’est jointe à l’équipe de professeur.e.s du Collège Montmorency où elle travaille à développer des interprètes versatiles, créateurs et sensibles.
En plus de l’enseignement, Sophie se passionne pour la création et chorégraphie pour le théâtre, la télévision et le cinéma. Récipiendaire d’une bourse PLAN en 2021-2022, elle crée, avec Denis Poulin et Philippe Vita, Fragile, le printemps perdu, une œuvre chorégraphique multimédia et intergénérationnelle.
Depuis quelques années, Sophie reprend avec beaucoup de plaisir son rôle de conseillère artistique et de directrice des répétitions, notamment avec les chorégraphes Benjamin Hatcher et Frédérique-Annie Robitaille (Zeugma). Son expérience d’enseignante jumelée à celle d’artiste lui permet d’assister avec précision, créativité et sensibilité les chorégraphes et interprètes avec lesquels elle collabore.

Crédit photo Jean-Sébastien Francoeur

Depuis les quinze dernières années, Nicolas Patry évolue dans le milieu de la danse professionnelle à Montréal. À travers les multiples rencontres artistiques, il développe et s’engage vers une danse sensible et porteuse de sens. Nicolas cherche à se renouveler à chacun de ses projets, il voit le potentiel du corps et de la danse comme multiple et infini.
La danse éveille en lui un désir de mutation, une invite à rencontrer l’inconnu, un plongeon profond en soi. Il est fasciné par une approche du corps sensoriel et polyvalent.
Sa formation Tamalpa Institute Life Art Process et son lien avec Linda Rabin lui permettent de vivre le mouvement de l’intérieur, un mouvement créatif et expressif. La philosophie du corps, du mouvement et de la vie s’entremêle pour conduire chaque geste à son plein potentiel créatif.
Depuis plusieurs années, Nicolas complète son parcours d’artiste en danse via l’enseignement. Il est honoré de succéder à Linda Rabin pour le cours de Recherche Créative à l’EDCM. Il se joint également aux équipes de chargé de cours de l’UQAM et de professeurs du Collège Montmorency pour y partager ses connaissances. Nicolas est passionné par la rencontre des différents vécus, de la liberté que chaque personne se donne dans sa danse et de la rigueur que la discipline de la danse requiert.

Crédit photo Bernard Breault

Diplômée et boursière du Cégep de Saint-Laurent et de l’Université du Québec à Montréal, Marilyne St-Sauveur danse dans les pièces de Marie-Julie Asselin, Marie Béland, Lynda Gaudreau, Frédérick Gravel, Emmanuel Jouthe, OSEZ!/Karine Ledoyen, Dean Makarenko, PPS Danse, Andrew Tay, Katie Ward, avec le collectif de création composé d’Ellen Furey, Audrée Juteau, Catherine Lavoie-Marcus et Zoey Gauld, ainsi qu’avec les artistes visuelles Elaine LaBrie et France Pepin. Ces projets la mèneront un peu partout sur les scènes québécoises et canadiennes mais aussi aux États-Unis, en France, en Angleterre, en Belgique, en Italie et en Chine. Marilyne a assisté plusieurs enseignants à l’UQAM, a enseigné au Département de danse du Cégep de Saint-Laurent et enseigne présentement au Collège Montmorency. Elle travaille également à titre de répétitrice pour la danse et le théâtre.Plus récemment, elle partage sa passion pour la danse en ligne au sein de la coopérative d’habitation qu’elle habite et lors de diverses occasions. Une danse rassembleuse qui resserre le tissu social.

Crédit photo Martin Flamand

Gabrielle Surprenant-Lacasse est une artiste basée à Tio’tia:ke / Montréal. La conviction en la nécessité de la danse et des portes qu’elle ouvre vers l’autre et vers soi est au cœur de son travail d’interprète, et également d’enseignante et de chorégraphe. Ambitieuse et idéaliste, elle se dote du mandat de créer les opportunités pour évoluer en tant qu’artiste dans des contextes de travail qui correspondent à ses valeurs de respect, de rigueur et d’équité. Elle est enseignante au département de danse du Collège Montmorency et ces valeurs sont au centre de ce qu’elle souhaite transmettre aux artistes de demain. Son parcours comme interprète l’amène à collaborer avec grand nombre d’artistes, dont Marilyn Daoust, Gabriel Léger-Savard, Louise Bédard, Hélène Langevin, Audrey Bergeron, Élodie et Séverine Lombardo, Katia-Marie Germain, Geneviève Caron-Ferron, Emmanuel Jouthe, George Stamos, Sarah Dell’ava, Liliane Moussa et Marilyne St-Sauveur.  En tant que chorégraphe, elle explore présentement la forme solo, notamment avec sa dernière pièce; Géante et son travail de recherche en cours; Terrains. Elle co-fonde le collectif Ballet de ruelles en 2010, une plateforme de création investissant des lieux de passage par la danse, avec qui elle co-signe 6 œuvres.

Crédit photo Justine Latour